«Les facultés de médecine ne fonctionnent pas en vase clos, indique le Dr David Eidelman, vice-principal (santé et affaires médicales) et doyen de la Faculté de médecine de l’Université McGill. Parmi nos différentes missions, nous avons celle de pourvoir aux besoins de la population. Or, au Québec comme partout ailleurs, il y a de grands besoins à combler dans les soins de première ligne. Le gouvernement a d’ailleurs fait de la première ligne l’une de ses priorités et, comme nous constatons qu’il y a une pénurie de médecins de famille, nous avons vraiment changé notre approche. »
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23 mai 2012