Délaissant le paradigme trop simpliste des mauvaises habitudes de vie, les chercheurs découvrent peu à peu les mécanismes génétiques et épigénétiques derrière l’obésité. Des recherches menées récemment par la Dre Patricia P. Silveira et ses collègues à l’Université McGill et à l’Institut Douglas ont démontré qu’une altération des voies de signalisation de la dopamine chez les enfants ayant un faible poids à la naissance peut accentuer leur préférence pour les aliments très sucrés, ce qui augmente leur risque d’obésité.

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Le 22 décembre 2017