Par Shawn Hayward

La recherche médicale exige temps et argent. Chacun est jaloux de ses résultats et de la gloire qui s’y rattache. Toutefois, de plus en plus de chercheurs s’interrogent sur le protectionnisme scientifique, pesant le pour et le contre du cloisonnement de la recherche.

Rachel Harding est boursière postdoctorale au sein du Consortium de génomique structurale. Sa spécialité : la chorée de Huntington. Loin de protéger jalousement ses données, elle les publie en ligne, en temps réel, dans l’espoir qu’elles soient utiles à ses collègues chercheurs et aux patients atteints de cette maladie.

La chercheuse a récemment animé un séminaire à l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal, où le concept de science ouverte est appliqué à l’échelle de l’établissement. Elle a parlé de ses travaux au Reporter.

Pour lire l’entrevue (en anglais), cliquer ici.

 

Le 3 juillet 2017