Alors qu’elle n’occasionne souvent aucun symptôme chez les porteurs de cette bactérie, la tuberculose infecte chaque année dans le monde de huit à dix millions de personnes et entraine plus de deux millions de décès. Il s’agit d’une maladie très contagieuse, en raison de sa propagation par la toux et l’éternuement.

« Même ici, au Canada, nous sommes sous la menace d’une catastrophe sanitaire mondiale en latence. Toutefois, ce nouveau paradigme issu de la recherche sur la tuberculose pourrait présenter une occasion à portée de main pour améliorer les mesures actuelles en matière de vaccination et de traitement », explique le Pr Maziar Divangahi de l’Université McGill et de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill.

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