Pendant la saison froide, quand les patinoires et les pentes de ski recouvertes de neige invitent jeunes et moins jeunes à jouer dehors, il est essentiel de se rappeler qu’il faut se protéger la tête, tout comme lorsqu’on s’adonne à un sport de contact.

Une étude réalisée au Canada il y a quelques années a conclu que les commotions se produisaient parmi les joueurs de hockey junior 3,3 fois plus fréquemment que selon les données d’un rapport précédent. Aujourd’hui, la haute incidence des commotions dans les sports et le risque de traumatisme au cerveau continuent de préoccuper de manière importante.

« Les enfants doivent se préoccuper de leur propre cerveau », a déclaré la docteure Angela Genge, directrice médicale de la clinique de SLA de l’Institut et hôpital neurologique de Montréal (INM), lors d’une récente entrevue avec le journal montréalais The Gazette. Quand une personne a subi une blessure sportive, les risques d’une autre commotion sont augmentés, tout comme les dommages qu’elle peut causer.


La docteure Genge, de concert avec le professeur Alain Ptito, neuropsychologue à l’INM, parlaient des dangers graves que représentent les commotions et des travaux de recherche en cours à l’INM sur les commotions causées par des activités sportives.

Lire l’article du journal montréalais The Gazette (en anglais seulement)
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