Why do some people who are exposed to tuberculosis not become infected or develop the disease? Dr. Erwin Schurr and his team at the Research Institute, from the McGill University Health Centre (RI MUHC), in collaboration with Dr. Alexandre Alcais, from the Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) in Paris, has shed light on this question for the first time. Their results show that one or multiple genes might provide certain people with resistance to tuberculosis infection. Their findings are published in the Journal of Experimental Medicine.
Tuberculosis (TB) is an infectious disease caused by a bacterium called Mycobacterium tuberculosis (MTB). Two thirds of the world population are infected by this mycobacterium. Nevertheless, 20 per cent of people exposed to the mycobacterium are resistant to infection and can therefore, not develop the disease. ” For our study, we were interested in this minority of people who live in high-exposure areas without becoming infected,” said Dr. Schurr. “We tried to understand how these people develop resistance to TB infection.”
Pourquoi certaines personnes exposées à la tuberculose ne sont pas infectées et ne développent pas la maladie ? L’équipe du Dr Erwin Schurr de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM) en collaboration avec le Dr Alexandre Alcais de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), Paris, clarifie pour la première fois la question. Leurs résultats montrent qu’un ou plusieurs gènes seraient à l’origine, pour certaines personnes, de leur résistance à l’infection de la tuberculose. Les résultats viennent d’être publiés dans le « Journal of Experimental Medicine ».
La tuberculose (TB) est une maladie infectieuse provoquée par une bactérie appelée Mycobacterium tuberculosis (MTB). Les deux tiers de la population mondiale sont infectés par cette mycobactérie. Cependant 20 % des personnes exposées à la MTB sont résistantes à l’infection et peuvent donc ne pas développer la maladie. « Dans notre étude, nous nous sommes intéressés à cette minorité de personnes vivant dans des zones à haute exposition sans être infectées », livre le Dr Schurr. « Nous avons essayé de comprendre comment ces personnes développent une résistante à l’infection. »