Une étude au CUSM/McGill ouvre une nouvelle voie d’investigation vers des thérapies préventives du Paludisme
La malaria tue entre 1 et 3 millions de personnes, n’importe où dans le monde, et en touche plus de 500 millions d’autres, tous les ans. Pourtant, jusqu’à présent, les scientifiques n’avaient pas entièrement percé le secret du mécanisme de la maladie qui conduit à cette fièvre dévastatrice.
Le Dr Martin Olivier et son équipe de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM) et de l’Université McGill à Montréal ont résolu le mystère et sont peut être les premiers à ouvrir la voie vers le développement d’un traitement, semblable à un vaccin, afin de limiter la gravité de cette maladie parasitaire. Les résultats de leur étude sont publiés le 21 août dans la revue Public Library of Science – Pathogens.