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OTTAWA – L’Association des facultés de médecine du Canada (AFMC) a publié un rapport sur l’impact économique des facultés de médecine du Canada et de leurs partenaires des sciences de la santé. Ce rapport inédit marque la fin d’une étude approfondie qui montre comment l’investissement dans la médecine universitaire est vecteur d’activités économiques, d’emplois et de recettes fiscales qui profitent à tous les Canadiens.

« C’est la première fois que nous disposons de données solides sur la contribution concrète des facultés de médecine au tissu économique et social du Canada, a affirmé la Dre Hélène Boisjoly, présidente du Conseil d’administration de l’AFMC. Les résultats sont frappants et nous donnent de nouveaux indices éclairants sur la manière dont les facultés de médecine créent des emplois et font vivre les collectivités dans tout le pays. »

FAITS SAILLANTS DE L’ÉTUDE :

  • Les facultés de médecine et les hôpitaux d’enseignement qui y sont affiliés représentent 66,1 milliards de dollars en retombées économiques totales, soit 3,5 % du PIB du Canada.
  • Les facultés de médecine et les hôpitaux d’enseignement ont créé plus de 295 000 emplois au Canada, un chiffre qui comprend les Canadiens directement employés par ces deux types d’entités et ceux dont les emplois dépendent de la médecine universitaire.
  • Un (1) emploi sur 60 au Canada est tributaire des facultés de médecine et de leurs partenaires des sciences de la santé, ce qui représente 1,7 % de tous les emplois dans tout le pays.
  • Les facultés de médecine et les hôpitaux d’enseignement font produire des recettes fiscales publiques estimées à plus de 13,9 milliards de dollars, un chiffre qui s’ajoute à leur contribution de 66,1 milliards de dollars au PIB du Canada.

« Nous savons depuis longtemps que les médecins améliorent la santé et la qualité de vie des Canadiens, a déclaré la Dre Geneviève Moineau, présidente et chef de la direction de l’AFMC.  Les facultés de médecine et leurs partenaires des sciences de la santé dispensent des soins de haute qualité, poursuivent des recherches de pointe, impulsent le développement de nouvelles entreprises et forment les professionnels de la santé de demain. Cette nouvelle étude, a conclu la Dre Moineau, nous donne un tableau global des incidences de cette activité en termes d’impact économique et de création d’emplois. »

Pour lire l’étude intégrale, cliquez ici.

À propos de l’étude :

Commandée par l’AFMC et réalisée par Tripp Umbach, un cabinet de conseil reconnu et auteur de plus 150 études d’impact économique au cours des 25 dernières années, l’étude a mesuré à la fois l’impact économique direct et indirect qu’ont toutes les facultés de médecine du Canada (17) et les principaux hôpitaux universitaires qui y sont affiliés. L’impact direct se fonde sur les éléments tels que les dépenses institutionnelles, les dépenses des employés et les dépenses des visiteurs. L’impact indirect tient compte des résultats qui découlent de la redistribution des dollars générés directement par les institutions respectives. Les données primaires utilisées dans cette étude ont été recueillies, entre octobre 2013 et mars 2014, auprès de l’AFMC et des facultés de médecine. Travaillant de concert avec le personnel de l’AFMC, Tripp Umbach a élaboré un formulaire hors série pour recueillir des données complémentaires et pallier ainsi les lacunes qui ne pourraient l’être par les sources de données existantes. Bien que les résultats de l’étude donnent une estimation de l’impact économique du triptyque, la première jamais établie, ils ne reflètent pas ses incidences générales engendrées par la commercialisation, les dérivés de la recherche et les avantages communautaires difficiles à mesurer.

À propos de l’AFMC

L’Association des facultés de médecine du Canada (AFMC) représente les 17 facultés de médecine du Canada et est la voix nationale de la médecine universitaire. Notre organisme a été fondé en 1943 et appuie individuellement et collectivement les facultés de médecine canadiennes par le biais de la promotion de l’éducation médicale, de la recherche et des soins cliniques.

Le 11