Photo: Davidd/flickr
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Dans un article paru dans la section consacrée à l’Ouest-de-l’Île du quotidien Montreal Gazette, la docteure Debbie Sookman, professeure adjointe au Département de psychiatrie de McGill, souligne la pénurie de spécialistes qualifiés pour traiter des patients atteints du trouble obsessionnel-compulsif (TOC), une maladie qui se manifeste parfois dans l’accumulation pathologique – cette incapacité à se débarrasser de possessions qui sembleraient négligeables pour d’autres, ce qui se traduit par une accumulation excessive.

Dans sa cinquième édition, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux classe désormais distinctement le TOC et d’autres troubles connexes. Il s’agit d’un pas dans la bonne direction pour encourager plus de professionnels de la santé à suivre la formation spécialisée nécessaire pour traiter le TOC, selon la docteure Sookman.

La clinique de TOC du CUSM est la seule du genre au Canada à traiter des patients de tous les âges que cette maladie affecte.

Cliquez ici pour lire l’article dans The Gazette (en anglais).

Le 5 mai 2014