Dans un récent article pour Medium, la professeure adjointe Stefanie Blain-Moraes, de l’École de physiothérapie et d’ergothérapie de l’Université McGill, explique la contribution de la technologie à la qualité de vie des personnes non communicantes.
Écrit dans le cadre de la Rencontre annuelle des nouveaux champions, l’article décrit les avancées que réalise le laboratoire BIAPT (Biosignal Interaction and Personhood Technology) pour entrer en contact avec l’univers intérieur des patients minimalement communicants, notamment grâce à un système nommé « biomusique », qui traduit en musique les changements physiologiques et permet aux soignants de reconnaître l’état émotif de la personne.
Le but de ce type de technologies médicales, écrit la Pre Blain-Moraes, est de maintenir l’identité individuelle des personnes incapables de communiquer.
Le 5 juillet 2017