Could lead to treatments to block commandeering of cell’s internal “highway”
Researchers at McGill University and the affiliated Lady Davis Institute for Medical Research at Montreal’s Jewish General Hospital – along with colleagues at the University of Manitoba and the University of British Columbia – may have found a chink in the armour of the human immunodeficiency virus type 1 (HIV-1), the microorganism which causes AIDS. They have pinpointed the key cellular machinery co-opted by HIV-1 to hijack the human cell for its own benefit. Their study was published in May in the Journal of Biological Chemistry.
Des chercheurs canadiens pourraient avoir identifié une faille dans l’armure du virus d’immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1), responsable du sida. Ils ont identifié le mécanisme cellulaire clé auquel a recours le VIH-1 pour pirater la cellule humaine à son avantage. L’étude, réalisée par des scientifiques de l’Université McGill et de l’Institut Lady Davis pour la recherche médicale de l’Hôpital général juif de Montréal, en collaboration avec des chercheurs de l’Université du Manitoba et de l’Université de la Colombie-Britannique, a été publiée en mai par le Journal of Biological Chemistry.