Une récente étude des Pays-Bas en vient à la surprenante conclusion que plus la poignée de main est faible chez les personnes âgées de plus de 85 ans, plus celles-ci ont une chance de mourir prochainement.

L’étude montre que le comportement biologique observé pourrait devenir un précieux indice pour les praticiens de la santé.

Selon le Dr Allen Huang, gériatre au Centre universitaire de santé McGill, ce nouvel outil pourrait permettre aux médecins de mieux cibler le type d’intervention requis selon l’état de leur patient.

Lire l’article du CUSM.

Canadian Medical Association Journal
À LIRE DANS LA COUVERTURE PAR LA PRESSE :
24h Montréeal
Bloomberg business week
The Examiner
ABC Chicago