Il est plus facile d’obtenir des soins lorsqu’on reçoit un diagnostic de cancer qu’un diagnostic de trouble mental. Lynne McVey rêve du jour où ce ne sera plus le cas. « Notre rêve est qu’il existe un numéro de téléphone 1 800 en santé mentale et un intervenant pivot qui guiderait le patient durant ses traitements, voire durant l’ensemble de sa vie», confie-t-elle au Devoir. «Nous misons sur le bon patient à la bonne place avec le bon traitement au bon moment et avec un bon suivi.»

Un bon exemple de continuité des soins, c’est le programme de logements surpervisés. Dans l’ouest de l’île de Montréal, ce sont les équipes multidisciplinaires du Douglas qui assurent le suivi qui peut varier d’intensif à léger. Le Devoir a rencontré une propriétaire d’appartement supervisé et ses locataires.

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5 février 2013