Le National Post a consacré un reportage aux chercheurs qui recourent au financement participatif pour mener leurs recherches en médecine. Dmitri Khartidi, doctorant en biochimie à McGill, y relate comment son groupe s’est tourné vers Internet et le populaire phénomène de sociofinancement afin de réunir des fonds pour leurs travaux de mise au point d’un test pouvant déterminer la nature exacte d’une tumeur, qui permettrait aux médecins d’adapter précisément la thérapie à chaque tumeur maligne.
L’article souligne que cette façon de recueillir des fonds en médecine gagne en popularité, car l’obtention de financement par les voies traditionnelles que sont les agences gouvernementales et l’industrie est de plus en plus difficile.
Le 31 juillet 2014