Centre de recherche sur le cancer Rosalind et Morris Goodman de l’Université McGill. Photo: Noriko Uetani

Depuis des années, les cliniciens sont appelés à relever le défi associé au traitement du cancer du sein : une maladie qui ne peut être traitée par le biais d’une approche unique. Maintenant, des chercheurs de McGill ont découvert une signature génétique pouvant évaluer de manière précise les personnes atteintes d’un cancer du sein susceptibles de faire une rechute, permettant ainsi à celles dont ce n’est pas le cas d’éviter de se soumettre à un traitement non nécessaire.

L’etude fut realisée par des chercheurs du Centre de recherche sur le cancer Rosalind et Morris Goodman de l’Université McGill, de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill, de l’Institut de recherche sur le cancer Dana-Farber et de l’École de médecine de l’Université Harvard.

« Étant donné que de nombreux traitements entraînent des complications à court et long terme – dont la ménopause prématurée, la cardiotoxicité et le développement d’un cancer secondaire – il est important de comparer les risques aux avantages potentiels pour chaque cas afin d’éviter, dans la mesure du possible, la douleur, les dépenses non essentielles et le fardeau additionnel que doit porter le système de santé», explique le professeur et coauteur de l’étude Alain Nepveu, chercheur au Centre de recherche sur le cancer Rosalind et Morris Goodman et à l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill.


Communiqué de presse ►

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