L’Institut Lady Davis

et

le Centre d’Innovation Génome Québec et Université McGill

présentent

Conférence de prestige en génétique humaine de McGill

Thérapie à base de cellules souches pour la dégénérescence rétinienne :

une vision pour l’avenir


Conférencier : Robin R. Ali, PhD

Professeur, génétique moléculaire humaine

UCL Institute of Ophthalmology and Moorfields Eye Hospital

Le lundi 27 janvier 2014

15 h 30 – 17 h 00

Amphithéâtre Palmer

Pavillon McIntyre des sciences médicales

Robin AliLes dégénérescences rétiniennes causant la perte de photorécepteurs constituent une cause majeure de la cécité non traitable. Les dystrophies rétiniennes héréditaires touchent 1 personne sur 3 000, et la dégénérescence maculaire liée à l’âge touche 1 personne sur 10 chez les gens âgés de plus de 60 ans. Dans le moment, aucun traitement ne peut rétablir les cellules photoréceptrices et le fonctionnement visuel qui ont été perdus et par conséquent, de nouvelles méthodes thérapeutiques sont devenues nécessaires. Nous avons déjà découvert que la transplantation de  cellules photoréceptrices au cours d’une étape précise du développement mène à leur intégration à la rétine de l’adulte (MacLaren et al Nature 2006) et améliore la vision des souris atteintes de déficits visuels (Pearson et al. Nature 2012). Nous avons récemment démontré pour la première fois que la transplantation réussie de la cellule souche embryonnaire d’une souris provient de photorécepteurs (Gonzales-Cordero et al, Nature Biotech, 2013), et l’on est maintenant à élaborer une thérapie de cellule souche embryonnaire chez l’humain en vue du traitement des troubles de la rétine.

Animateur : Dr Rod McInnes: rod.mcinnes@mcgill.ca

Info : Maya Zaremba : rsvp.med@mcgill.ca

23 décembre 2013