D’après une équipe d’experts en bioéthique, les biobanques devraient réorganiser comment ils s’occupent de l’ADN des enfants en santé.
Les enfants qui ont été inscrits pour des études à longue-terme par leurs parents ne devraient pas avoir leurs données génétiques distribuer ou fait publique jusqu’à ce qu’ils le consentent une fois plus âgés, dit l’équipe qui a publié leurs recommandations dans Science. « Les enfants devraient être capable de décider, une fois qu’ils sont assez mature, sur leur niveau d’implication, » dit Bartha Maria Knoppers, directrice du Centre de génomique et politiques de l’Université McGill à Montréal Canada, et auteur de l’étude.