Le fait de cajoler nos enfants empêche la société de s’écrouler.

Une intrigante découverte scientifique découle de travaux de recherche de longue haleine sur des résidants du quartier Hochelaga, à Montréal.

Le premier numéro de 2014 de Nature, revue scientifique hebdomadaire reconnue à l’échelle internationale, comprend un article de Stephen S. Hall, lequel décrit les travaux du chercheur Richard Tremblay de l’Université de Montréal. En 1984, Tremblay avait initié «l’étude longitudinale de Montréal » comme on l’appelle maintenant, dans le cadre d’un exercice pour composer avec des garçons de niveau de la maternelle hyperactifs et abusés sexuellement.

En 2004, Tremblay rencontrait un autre scientifique de Montréal, Moshe Szyf de l’Université McGill, qui avait découvert que si les mères de rats nouveaux-nés lèchent et soignent leurs bébés, les bébés rats développent des modèles de méthylation de l’ADN différents de ceux des rats qui reçoivent moins d’attention de leur mère. Plus précisément, les soins que la mère rat prodigue modifient l’activité des gènes qui déterminent la manière dont son enfant réagit au stress.

Tremblay a fait équipe avec des chercheurs de McGill pour voir si les jeunes singes démontrent des changements de la méthylation de l’ADN similaires à la suite des soins maternels.

Lire l’article intégral dans Rabble.

 

 

 

 

 

 

 

21 février 2014